« La délocalisation de Mbeubeuss sera l’un des plus grands combats une fois que je serais élu », a d'emblée laissé entendre Doudou Keïta, tête de liste majoritaire de l’Alliance patriotique pour l’émergence et le libéralisme/Jokko Jubbeul Jarinu (APPEL/3J) à la commune de Keur Massar. A peine démarrée, la campagne électorale des locales prochaines, est aussi ce moment où les politiques lâchent des vœux à l'endroit des citoyens afin d'espérer bénéficier de leur électorat.
Le candidat, Doudou Keïta, a effectué en ce premier jour de campagne une caravane à travers les différents artères de la localité. Pour lui, « il n’est plus question que les habitants de Keur Massar continuent de vivre avec cette décharge ». Toujours dans son discours, M. Keïta, dira que la « délocalisation de la décharge de Mbeubeuss est une affaire que je porte dans mon cœur. Je ne me lasserai jamais de me battre pour que cette décharge soit délocalisée ». Cette décharge d'ordures constitue en effet un danger pour les populations du fait du risque de pollution de la nappe phréatique, des cultures maraîchères le long du site et de l’air. D'ailleurs, il est plusieurs arrivé que les habitants de cette zone crient leur ras-le-bol face à ce fléau.
« J’ai beaucoup échangé avec des experts qui m’ont dit qu’avec cette décharge, nous mourons à petit feu », sert-il en guise de conclusion à ses propos. Pour l'heure, ce candidat semble avoir mis les gros moyens pour gagner l'électorat à Keur Massar. Presque partout, son nom est écrit sur les murs.
Le candidat, Doudou Keïta, a effectué en ce premier jour de campagne une caravane à travers les différents artères de la localité. Pour lui, « il n’est plus question que les habitants de Keur Massar continuent de vivre avec cette décharge ». Toujours dans son discours, M. Keïta, dira que la « délocalisation de la décharge de Mbeubeuss est une affaire que je porte dans mon cœur. Je ne me lasserai jamais de me battre pour que cette décharge soit délocalisée ». Cette décharge d'ordures constitue en effet un danger pour les populations du fait du risque de pollution de la nappe phréatique, des cultures maraîchères le long du site et de l’air. D'ailleurs, il est plusieurs arrivé que les habitants de cette zone crient leur ras-le-bol face à ce fléau.
« J’ai beaucoup échangé avec des experts qui m’ont dit qu’avec cette décharge, nous mourons à petit feu », sert-il en guise de conclusion à ses propos. Pour l'heure, ce candidat semble avoir mis les gros moyens pour gagner l'électorat à Keur Massar. Presque partout, son nom est écrit sur les murs.
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